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Retrouvez les informations du Centre Médical Françoise Dolto

Sida / VIH : Le Centre Dolto se mobilise

Évènements

28 novembre 2023

Le 1er décembre est la Journée Mondiale contre le Sida et à cette occasion, le centre médical F. Dolto se mobilise pour faire une réelle différence.

Cette journée est dédiée à sensibiliser le public et à apporter un soutien essentiel aux personnes touchées par le virus VIH. Vous êtes invités à rejoindre le mouvement de santé et de solidarité le vendredi 1er décembre de 11h à 18h30 pour un dépistage gratuit et confidentiel du VIH, VHB et VHC, sans rendez-vous. Votre santé est primordiale, c’est pourquoi il est important d’être pris en charge dans un environnement sûr et discret.

En plus du dépistage, le centre médical F. Dolto proposeune action de prévention en partenariat avec l’association SOS Hépatites. Leurs membres seront là pour vous écouter, répondre à vos questions et vous informer sur le VIH et les hépatites virales B et C.

Infos pratiques

Quand ? Le vendredi 1er décembre – de 11h à 18h30

Où ? Centre F. Dolto – 26 Rue Anatole France, Puteaux

Pour plus d’informations – 01 40 87 55 07

Le sida, un virus encore trop méconnu (sondage IFOP 2023) 

  • 23% des jeunes interrogés estiment être mal informés sur le VIH/sida, soit une augmentation alarmante de 22 points par rapport à 2009.
  • Moins d’1 jeune sur 2 s’estime bien informé sur les lieux où aller se faire dépister pour le test du VIH/sida.
  • 32 % considèrent qu’il existe des médicaments pour guérir du sida (+5 points par rapport à 2022).
  • 23% estiment encore que la pilule contraceptive d’urgence peut empêcher la transmission de virus soit une augmentation inquiétante de 4 points en un an.
  • Entre 12 et 17% des personnes sondées estiment qu’on peut contracter le VIH en entrant en contact avec la transpiration d’une personne séropositive, en buvant dans son verre, en lui serrant la main ou en l’embrassant.
  • 43 % pensent qu’il y a de moins en moins de contamination chez les jeunes.
  • 67% des 15-24 ans disent ne pas avoir bénéficié d’un enseignement de 3 cours par an à l’éducation à la vie affective et sexuelle.
  • 84% que le nombre de cours d’éducation à la sexualité à l’école n’est pas suffisant aujourd’hui alors que la loi l’impose depuis 2001.
  • 75 % auraient voulu être mieux informés et accompagnés au début de leur vie affective et sexuelle.